Nativité du Christ - Icône de la fête
Icône moderne
Irina Zaron
Léonide Ouspensky et Vladimir Lossky
Comprendre l'icône de la Nativité de notre Sauveur Jésus-Christ
Léonide Ouspensky et Vladimir Lossky
La Nativité du Christ
Le prototype de l'iconographie classique de la Nativité, telle que nous la voyons dans l'icône reproduite ici, se trouve sur des ampoules des Ve et VIe siècles, dans lesquelles les pèlerins rapportaient chez eux, venant de la Terre sainte, l'huile des lampes qui y brûlaient.
L'élément descriptif de l'icône correspond au kondakion de la fête : « La Vierge, en ce jour, enfante Celui qui surpasse toute nature, et la terre offre une grotte à l'Inaccessible: les anges chantent Sa gloire avec les bergers et les mages cheminent avec l'étoile; car nous est né un petit Enfant, le Dieu d'avant les siècles. «L'icône ajoute habituellement, dans les deux angles inférieurs, deux scènes qui sont empruntées à la Tradition.
Le contenu de l'icône de la Nativité du Christ présente deux aspects : avant tout elle révèle l'essence même de la fête, le fait de l'incarnation réelle de Dieu, elle nous place devant le témoignage visible du dogme fondamental de la foi chrétienne, en soulignant par ses détails à la fois la Divinité et l'humanité du Verbe incarné. En second lieu l'icône de la Nativité nous montre l'effet de cet événement sur la vie naturelle du monde créé et donne, en quelque sorte, une vue d'ensemble de toutes ses conséquences. Car. selon saint Grégoire de Nazianze, la Nativité de notre Seigneur «n'est pas la fête de la création, mais la fête de la recréation», une rénovation qui sanctifie l'univers entier. L'incarnation de Dieu donne à l'univers un sens nouveau qui est le but et la raison d'être de son existence : sa transfiguration à venir. C'est pourquoi toute la création prend part au mystère de la naissance du Rédempteur et nous voyons autour du Dieu-Homme les représentants de toutes les créatures, chacune dans son rôle propre, Lui apportant ce que l'Église appelle son témoignage de gratitude. «Qu'allons-nous T'offrir, ô Christ, puisque pour nous Tu es né sur la terre comme Homme? Chacune des créatures qui sont Ton œuvre T'apporte, en effet, son témoignage de gratitude : les anges leur chant, les cieux l'étoile, les mages leurs dons, les bergers leur émerveillement, la terre, la grotte, le désert, la crèche; mais nous - une Mère Vierge…» (stichère aux Vêpres de la Nativité). L'icône ajoute les bêtes et les plantes - dons du règne animal et du règne végétal.
Icône de la Nativité du Christ de Novgorod
Dans le centre de la composition, vers lequel convergent tous les détails, se trouve l'essentiel : L'Enfant enveloppé de langes, couché dans la crèche sur le fond sombre de la grotte où Il est né. Une homélie attribuée à saint Grégoire de Nysse compare la Nativité dans la grotte avec la lumière spirituelle apparue dans l'ombre de la mort qui enveloppe l'humanité. Le trou noir de la grotte sur l'icône représente symboliquement le monde d'ici-bas frappé par le péché par la faute de l'homme, et où se lève «le Soleil de justice»·
C'est l'évangile selon saint Luc qui parle de la crèche et des langes : « Elle L'emmaillota et Le coucha dans une crèche. » Et un peu plus loin, la crèche et les langes sont indiqués comme le signe donné par l'ange aux bergers, signe auquel ils reconnaîtront leur Sauveur : «Et voici à quel signe vous Le reconnaîtrez : vous trouverez un Enfant emmailloté et couché dans une crèche.» La stichère citée ci-dessus dit que la crèche est le don que le désert apporte à l'Enfant divin. Le sens de ces paroles est révélé par saint Grégoire de Nazianze qui dit: «Homme devenu irraisonnable, prosterne-toi devant la crèche par laquelle tu grandis en te nourrissant de la Raison», c'est-à dire par le Corps eucharistique du Verbe. Ce désert (c'est-à-dire un lieu inhabité) qui offrit une crèche comme asile à Notre Seigneur que le monde civilisé n'avait pas reçu, avait été préfiguré dans l'Ancien Testament : c'est en effet dans le désert qu'apparut au peuple hébreu la manne, «le pain du ciel» qui le nourrit - image prophétique de !'Eucharistie. Or voici que Celui qui fit pleuvoir la manne à Son peuple dans le désert, devient Lui-même le pain eucharistique. Ce pain qui nous nourrit est couché dans la crèche, image de l'offertoire, Lui qui sera l'Agneau eucharistique élevé sur l'autel.
La grotte, la crèche, les langes, sont autant de signes de la kénose de la Divinité, de Son humiliation, de l'abaissement total de Celui qui, «invisible dans Sa Divinité, devient visible à cause de l'homme, naît dans une grotte et Se laisse envelopper de langes», en préfigurant Sa mort, Son tombeau et les bandelettes mortuaires.
Dans la grotte, au voisinage immédiat de Notre Seigneur, nous voyons le bœuf et l'âne. Les évangiles n'en parlent pas ; et pourtant, sur toutes les représentations de la Nativité on les retrouve aux côtés de l'Enfant divin. Cette place qu'ils occupent au centre même de l'icône indique l'importance que l'Église attribue à ce détail. C'est qu'il indique l'accomplissement de la prophétie d'Isaie (1, 3) : «Le bœuf connaît son maître et l'âne la crèche de son seigneur, mais Israël ne sait pas, Mon peuple ne comprend pas.» En représentant le bœuf et l'âne, l'icône évoque cette prophétie et nous appelle, nous, le nouvel Israël, à la connaissance et à La compréhension du mystère de l'Économie divine.
Ce qui frappe avant tout lorsque l'on regarde une icône de la Nativité de Notre Seigneur, c'est Sa Mère et la place qu'Elle occupe. Dans cette fête de la recréation, Elle est «la Rénovation de ceux qui sont nés sur la terre», la nouvelle Ève. De même que la première Ève est devenue la mère de tous les vivants, la nouvelle Ève est devenue la Mère de l'humanité déifiée par l'incarnation de Dieu. Elle est, parmi les témoignages de gratitude que les créatures apportent à leur Créateur, le plus sublime, celui que l'homme apporte à Dieu. Dans la personne de La Vierge, l'humanité déchue donne son consentement à son salut par l'incarnation divine. L'icône de la Nativité souligne ce rôle de la Mère de Dieu en la mettant en évidence tout particulièrement par Sa position centrale et parfois aussi par Ses dimensions. Dans beaucoup d'icônes, Elle est le plus grand des personnages. Elle est étendue tout près de l'Enfant sur une litière, mais généralement hors de la grotte. Cette litière est une sorte de matelas transportable que les Juifs emportaient avec eux dans tous leurs déplacements.
L'attitude de la Vierge est toujours très significative et liée aux problèmes dogmatiques posés par telle ou telle époque en tel ou tel endroit. Ses modifications soulignent, suivant la nécessité, tantôt la Divinité, tantôt l'humanité du Seigneur. Ainsi dans certaines représentations la Vierge est mi-couchée, miassise, ce qui doit indiquer l'absence chez Elle des souffrances habituelles et par conséquent la naissance virginale et l'origine divine de l'Enfant (contre les erreurs nestoriennes). Mais, dans la grande majorité des représentations, la Vierge est couchée et exprime par Sa position une extrême lassitude. Cela doit rappeler aux fidèles la très réelle humanité de l'Enfant, «afin que l'incarnation ne soit pas soupçonnée de n'être qu'apparente», dit Nicolas Mézarite. Entourant le groupe central de l'Enfant et de Sa Mère, nous voyons les détails qui, comme nous l'avons dit, témoignent à la fois du fait même de l'incarnation et de son effet sur le monde créé.
Les anges remplissent leur double fonction : ils glorifient Dieu et portent en messagers la bonne nouvelle aux hommes. L'icône exprime ce double rôle en représentant certains anges tournés vers le haut, vers Dieu, d'autres s'inclinant vers les hommes.
Ces hommes sont des bergers. On les voit écoutant le message des anges et souvent l'un d'eux joue de la flûte, mêlant la musique, art humain, au chœur angélique.
De l'autre côté de la grotte, nous voyons les mages guidés par l'étoile. Ils sont soit à cheval, soit, comme dans notre icône, à pied, apportant leurs dons. Un long rayon émane de l'étoile pour indiquer directement la grotte; il relie aussi l'étoile à une sphère qui dépasse les limites de l'icône et représente symboliquement le monde céleste. L'icône indique ainsi que cette étoile n'est pas seulement un phénomène cosmique, mais aussi une messagère de l'au-delà annonçant que «sur terre est né Celui qui appartient au ciel»· Elle est cette lumière qui, selon saint Léon le Grand, était cachée aux Juifs, mais se révéla aux gentils. L'Église voit dans les bergers les premiers fils d'Israël venus adorer l'Enfant -prémices de l’Église des Juifs, et dans les mages «les prémices de toutes les nations» - ceux de l’Église des gentils. Il y a, d’une part, les bergers illettrés, gens simples, avec lesquels le monde céleste entre directement en contact dans leur vie quotidienne, au cours de leur travail. D’autre part, les mages, hommes de science, doivent faire un long chemin pour être conduits de la connaissance du relatif à celle de l’absolu par la nature même de leur étude. Par l’adoration des mages, l’Église nous dit qu’elle reçoit et sanctifie toute la science humaine venant à elle, pourvu que la lumière relative de la révélation extra-chrétienne mène ceux qui la servent à l'adoration de la Lumière absolue. Ajoutons que les mages sont généralement représentés d'âges différents afin de souligner que la Révélation est donnée aux hommes, indépendamment de leur âge et de leur expérience de la vie.
En bas, dans un angle de l'icône, deux femmes baignent l'Enfant. Cette scène est empruntée à la tradition que nous transmettent également l'évangile du Pseudo-Matthieu et le protévangile de Jacques. Ce sont les deux sages-femmes que Joseph amena à la Vierge. Cette scène de la vie quotidienne montre clairement que cet Enfant est tel que tout autre nouveau-né, soumis aux exigences de la nature humaine.
Un détail encore indique que, dans la Nativité de Notre Seigneur, «l'ordre de la nature est vaincu»· C'est saint Joseph. Il ne fait pas partie du groupe central formé par l'Enfant et Sa Mère; il en est très nettement séparé : il n'est pas le père. Devant lui, sous l'apparence d'un berger courbé par l'âge, se tient le diable qui le tente. Certaines icônes représentent ce dernier soit avec de petites cornes, soit avec une queue à peine visible. La présence du diable et son rôle de tentateur ont une portée toute particulière en cette «fête de la recréation»· L'icône, en se fondant sur la tradition, transmet le sens de certain, textes liturgiques (voir par exemple l'Acathiste) qui parlent des doutes de Joseph et de son état psychologique troublé. Cet état se traduit par l'attitude de Joseph plongé dans la tristesse, et souligné parfois par une grotte noire qui lui sert de fond. Pour tenter saint Joseph, le diable lui aurait dit qu'une nativité virginale est impossible car elle contredit les lois de la nature. Cet argument revient sous des formes diverses à travers toute l'histoire de l'Église et est à la base d'un grand nombre d'hérésies. Dans la personne de saint Joseph l'icône nous révèle non seulement un drame personnel, mais celui de toute l'humanité, la difficulté d'admettre «ce qui dépasse la parole et la raison» l'incarnation de Dieu.
Si, dans certaines icônes, la Mère de Dieu est représentée regardant l'Enfant, «gardant dans Son cœur» les paroles Le concernant, ou bien encore regardant devant Elle le monde extérieur, ailleurs Elle regarde saint Joseph, exprimant par Son regard Sa compassion pour son état. Elle nous montre que tolérante et compatissante doit être notre attitude envers l'incroyance et les doutes des hommes.
Source : Léonide Ouspensky et Vladimir Lossky,
Le Sens des icônes, Paris, Le Cerf, 2004, pp. 143-147.
« Ce que l’Évangile nous dit par la Parole, l’icône nous le montre et nous le rend présent. »[1] Ainsi, tout dans l’icône –couleurs, représentations, symboles- a un sens profond.
L’Incarnation est le fondement de l’icône. « Toute l’icône parle d’un Dieu fait Homme afin que l’homme devienne Dieu ». En effet, depuis que Dieu a « assumé la chair et la matière dans l’Incarnation, depuis que celles-ci ont été transfigurées dans la lumière de la Résurrection et ont été élevées à la participation à la vie divine dans l’Ascension » [2], nous pouvons représenter son image.
Ainsi, l’icône de la Nativité revêt une importance particulière.
« Le contenu de l’icône de la Nativité du Christ présente deux aspects : avant tout elle révèle l’essence même de la fête, le fait de l’Incarnation réelle de Dieu, elle nous place devant le témoignage visible du dogme fondamental de la foi chrétienne, en soulignant par ses détails à la fois la divinité et l’humanité du Verbe incarné. En second lieu l’icône de la Nativité nous montre l’effet de cet événement sur la vie naturelle du monde créé et donne, en quelque sorte, une vue d’ensemble de toutes ses conséquences. Car, selon saint Grégoire de Naziance, la Nativité n’est pas la fête de la création, mais de la recréation (Homélie 38. Sur la Nativité), une rénovation qui sanctifie l’univers entier. L’Incarnation de Dieu donne à l’univers un sens nouveau qui est le but et la raison d’être de son existence : sa transfiguration à venir. » [3]
Au centre de l’icône, l’Enfant Jésus est couché dans une mangeoire ressemblant à un tombeau, et ses langes évoquent le linceul, préfigurant la passion à venir.
« Cet enfant est né pour mourir, pour donner sa vie, cet acte (…) est le chemin vers l’Anastasis (Résurrection, en grec). De même, nous sommes nés pour mourir –nous sommes tous en chemin depuis notre naissance vers notre mort- mais, par la puissance du don, nous pouvons métamorphoser cet « être-pour-la-mort » en « être pour l’Amour », sachant qu’une vie donnée ne peut plus nous être prise et que l’Amour, plus fort que la mort, donne la vie. (…) La tache blanche et or de l’enfant enveloppé d’un suaire sur « l’autel-tombeau » se situe loin de tout le sentimentalisme qui accompagne la naissance d’un bambino. C’est la mission même du Christ qui est rappelée ici : il est né pour mourir et ressusciter. » [4]
La Vierge Marie a une position centrale, imposante aussi par sa taille [5]. Dans cette icône de la recréation, Marie est la « nouvelle Ève ». Elle est couchée, comme toute femme venant de mettre au monde son bébé : même si elle ne connut pas les souffrances de l’enfantement, du fait de son Immaculée Conception, cette représentation montre que l’Incarnation n’est pas qu’apparente. Marie repose sur une sorte de litière de tissu rouge symbolisant l’Esprit-Saint. La couleur pourpre de ses vêtements souligne également sa dignité de Mère de Dieu. Elle n’est pas tournée vers son Fils mais vers ceux qui regardent l’icône.
Tout premiers avertis de la naissance du Sauveur, deux bergers s’avancent dans la confiance et la foi, à droite ; et les Mages, en haut à gauche, cheminent par un chemin plus long qui est celui de la recherche et de la connaissance de Dieu. « Leur longue marche et la pure fidélité à l’Etoile les mènent à découvrir que Celui qu’ils cherchaient au loin, très haut dans les astres, dort sur la paille. » [6]
Ils représentent les trois âges de la vie : un homme jeune, un homme mûr, un homme âgé.
En bas à gauche, saint Joseph est méditatif et subit passagèrement la tentation du doute. Ce détail indique que « dans la Nativité de Notre Seigneur, l’ordre de la nature est vaincu. » [7] Un vieillard courbé et vêtu de peaux de bête représente le diable qui vient le tenter : « Cette conception virginale n’est-elle pas impossible ? » semble-t-il lui souffler. « Dans la personne de Joseph l’icône nous révèle non seulement un drame personnel, mais celui de toute l’humanité, la difficulté d’admettre ‘ce qui dépasse la parole et la raison’, l’Incarnation de Dieu. » [8]
Cette attitude de saint Joseph sur les icônes de la Nativité vise seulement à symboliser des difficultés de foi que nous tous, hommes, pouvons rencontrer devant les merveilles de Dieu, et elle ne doit pas être comprise d’une manière réductrice. Dans les Évangiles, Joseph est décrit comme « un homme juste » (Mt 1, 19), c’est-à-dire ajusté à la volonté de Dieu, qui « fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit » (Mt 1, 24) et prit chez lui Marie, son épouse. Il est véritablement « le serviteur fidèle que le Seigneur a établi sur sa famille ». « Dieu tout-puissant, à l’aube des temps nouveaux, tu as confié à saint Joseph la garde des mystères du salut », nous dit l’oraison de la fête de saint Joseph le 19 mars.
Les sage-femmes, en bas à droite, baignent l’enfant. Leur présence souligne toute l’humanité de cette naissance, le réalisme de l’Incarnation : le Seigneur est comme tous les nouveaux nés et a besoin d’être lavé et habillé.
Dans le registre supérieur de l’icône se trouvent les anges. A gauche, ils adorent Dieu ; à droite, ils annoncent au monde la grande nouvelle de la Nativité.
Le décor de cette icône est fort intéressant. En haut, au milieu, le ciel s’ouvre (« une sphère qui dépasse les limites de d’icône et représente symboliquement le monde céleste » [9]) et un rayon vient l’unir à la terre en la personne du Christ. Les montagnes sont largement présentes, et on notera qu’elles sont assez escarpées et comme en mouvement. « Ici, la terre n’est pas lisse et tranquille ; ce n’est pas un témoignage topographique des environs de Bethléem, mais le signe que la terre aussi est visitée : comme une pâte qui a reçu du levain, elle commence à se soulever et à fermenter. » [10]
Le monde animal et végétal est aussi présent pour accueillir en son sein le Sauveur : le bœuf et l’âne de la crèche, les bêtes gardées par les bergers, de nombreux arbres et plantes. Toute la création est là.
Enfin, le Christ, couché dans une grotte, se détache sur un fond noir. La grotte, véritable trou béant dans cette icône, symbolise les ténèbres de l’homme –matérielles et spirituelles- que Dieu vient illuminer, « le monde d’ici-bas frappé par le péché par la faute de l’homme, et où se lève le Soleil de justice » [11].
"Seigneur, tu as fait resplendir cette nuit très sainte des clartés de la vraie lumière ; de grâce accorde-nous, qu'illuminés dès ici-bas par la Révélation de ce mystère, nous goûtions dans le Ciel la plénitude de sa joie." [12]
[1] IVe Concile oecuménique de Constantinople, 870
[2] Michel Quenot, L’Icône, fenêtre sur le Royaume, p. 6
[3] Leonide Ouspensky, La Nativité du Christ, in Le sens des icônes p. 143
[4] Jean-Yves Leloup, L’Icône, une école du regard, pp. 45-46
[5] Dans les icônes, la taille des personnages est fonction de leur importance et non des lois de la perspective ; de même, le temps linéaire n’existe plus et plusieurs événements espacés dans le temps peuvent être représentés ensemble, car leur sens se trouve ainsi mis en évidence.
[6] Jean-Yves Leloup, L’Icône, une école du regard, p. 45
[7] Leonide Ouspensky, op. cit., p. 146
[8] Leonide Ouspensky, op. cit., p. 147
[9] Leonide Ouspensky, op. cit., p. 144 Page 6 | 16
[10] Jean-Yves Leloup, op. cit., p. 46.
[11] Leonide Ouspensky, op. cit., p. 146
[12] Messe de la nuit, 24 décembre
Source internet : http://sylviepetit.icones.free.fr/pages_accueil/nativite_christ.htm